Le statique bouche l’horizon !

Combien de « tableaux de bord » avons-nous croisé dans nos parcours professionnels ? Depuis l’émergence des outils de reporting (de Excel à des outils spécialisés), nombreux sont les dirigeants de société, de services ou de groupes de production à réclamer des tableaux de bord pour piloter leur activité ?

Pilotage ?

Ces tableaux ne permettent au mieux que de décrire des situations à un moment donné. Dans la majorité des cas, ils sont l’aboutissement de consolidations pyramidales plus ou moins complexes, ayant englouties une bonne partie du temps de travail par des copier-coller, des importations/exportations tous azimuts et autres bricolages dont les rouages sont souvent détenus par quelques collaborateurs seulement, avec les risques que cela représente en termes de pérennité et de sécurité.

Ces beaux graphiques en couleur, ces gros chiffres en pourcentage caressent le responsable dans le sens du poil ! Si les résultats sont bons, ils le confortent dans son management et son organisation. S’ils sont mauvais, il va vite reporter la faute et « prendre des mesures » … Nous avons tous connu de telles situations, non ? Mais quid du pilotage ?

Prenez les commandes

Piloter = mener sur une route vers un objectif précis.

Vous pouvez utiliser un tableau de bord reprenant votre CA, votre budget, vos arriérés de paiement et quelques autres indicateurs. Supposons votre chiffre d’affaires en baisse. Quels sont les leviers d’action affichés ?… Il convient de ne pas se contenter d’indicateurs sur des données statiques mais de visualiser tous ceux sur lesquels une action sera possible.

Par exemple, un échéancier des retards de paiement renseignera sur l’urgence de la situation en fonction d’un calcul montant * délai s’il est mis mis en parallèle avec les rentrées prévisionnelles sur des intervalles déterminés. Il sera ainsi possible de définir l’action à mettre en place et surtout son périmètre.

La baisse du chiffre d’affaires est-elle consécutive à une baisse de production ou à un déficit de dossiers à traiter ? Est-elle passagère ou pérenne ? Comment répondre à cette question sans la schématisation des prévisions et des taux de productivité de chaque service ou collaborateur ? En fonction, une action sur le levier commercial ou managérial pourra être mise en place. Pour anticiper, la construction d’indicateurs de performance prédictif est donc indispensable.

Ces exemples prouvent que des tableaux de bord, point de mire de chaines de construction manuelles et complexes, affichant uniquement des indicateurs « statiques », ne permettent pas la mise en place d’actions correctives.

L’horizon s’ouvre à vous

Power-Bi la solution !

Les merveilles de l’évolution bureautique … ne cessent de m’émerveiller !  je sais que mon grand âge me prédispose à cette béatitude (quand on a commencé avec les cartes perforées …). Des processus automatiques de construction du parc de datas, issues d’un grand nombre de sources possibles, sur des échelles temporelles variables, avec des possibilités d’introspection dynamiques aident à analyser les situations puis à décider des actions correctives. De nombreux outils du logiciel facilitent ce travail notamment le changement dynamique de périodes, de périmètres structurels ou fonctionnels, de zones géographiques … La recherche d’hypothèses d’amélioration devient presque intuitive.

La construction quasi automatique de ces tableaux de pilotage permet des restitutions très régulières (horaires, quotidiennes, hebdomadaires, mensuelles …) sous réserve de la mise en place des procédures d’alimentation de données par les autres supports (Excel, ERP, importations …)

La conclusion s’impose naturellement quand on sait que la solution PowerBi est déjà disponible dans votre version d’Excel !

Alors profitez des compétences de votre consultant favori pour prendre les commandes de votre activité et pilotez avec un tableau de bord solide et efficace.